Tatatata...
J'ai arrêté d'écrire ici il y a tellement longtemps , vous m'avez tant écrit de gentils messages que je ne sais plus comment revenir. C'est votre faute, aussi! A m'écrire votre inquiétude, je ne sais comment dire que ça va, ça pourrait aller mieux mais ça va, rien de dramatique pour justifier ça.
C'est venu peu à peu. D'abord Grand Chéri me disait que je pourrais parler de ci ou de ça dans mon blog, puis l'idée m'en est venue spontanément, et jusqu'à développer en pensée une phrase, puis deux, vite évaporées...
Oh! Ca n'a pas été facile! Il a fallu tout un exorcisme (Bertrand Labévue, sors de ce corps!), et depuis peu, thérapie par le rire.
Je ne résiste pas à vous citer les voeux de mon frère, qui valent leur pesant de cacaouètes et remportent haut la main la palme de ce dangereux ennuyeux original exercice:
La meilleure année possible: félicité amoureuse,
gagnant unique à l'Euromillion,
santé de fer, patron reconnaissant,
accouchement sans douleur...
A moi de vous présenter les miens... c'est ça? Ah merde (j'ai juré, mincemince mince, mais là, il n'y a pas d'oreilles enfantines pour en profiter...), c'est ça...
Bon alors, je vous souhaite tous les bonheurs du monde... parce que le bonheur, c'est bien beau, mais les bonheurs (les grands comme les p'tits), y'a que ça de vrai... et il en faut beaucoup pour chaque moment de la vie...
Et un petit souvenir de votre héros préféré...